Le Monde : « Le film “En fanfare”, naviguant entre art et essai et grand public, fait un bien fou au moral »
Décembre 2024
"Penchons-nous alors sur les musiques qu’on y entend. Dalida, des pots-pourris de fanfare, le Concerto pour piano n° 23, de Mozart, le morceau de jazz I remember Clifford, du saxophoniste Benny Golson, Aïda, de Verdi, Les Hébrides, de Mendelssohn, ou une œuvre de musique contemporaine de Michel Petrossian.
Il ne s’agit pas de fonds sonores. Ces musiques participent du scénario et de la dramaturgie, ce qui est rare au cinéma. Elles sonnent aussi juste que les dialogues et gestes qui les commentent, évitant une avalanche de clichés, par exemple le chef d’orchestre en gourou tourmenté et arrogant, agitant les bras dans tous les sens."
Michel Guerrin, rédacteur au chef au Monde
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